De l’importance de l’élément eau et de sa ritualisation

mercredi 10 mai 2017


L’eau fait partie de nous, de notre vie…on ne pourrait pas survivre sans eau.

J’en suis venue à réaliser à quel point nous en faisons un mauvais usage ou du moins à quel point nous ne nous rendons pas compte du pouvoir purificateur de l’eau et de son importance dans notre quotidien.

Plus j’évolue dans ce monde du « paranormal » et de « l’extra- ordinaire », du spiritualisme, des médecines alternatives, et plus je constate que ce sont définitivement les cordonniers les plus mal chaussés et que tout ce petit monde évolue dans le désir absolu d’aider l’autre et de le guérir…sans penser assez à lui-même et à son propre « nettoyage » énergétique, sa propre protection physique.

Il me semble pourtant que la purification énergétique du corps est primordiale pour tous les soignants et médiums, comme pour tous ceux qui entrent dans ce monde de guidance, de lumière et de soutien aux autres, tant sur le plan physique qu’éthérique.

Les hautes vibrations qui circulent ces derniers temps font entrer de plus en plus de monde dans cette lumière énergétique, cet autre monde qui se dévoile.

Cet article est donc destiné à tous…

Je viens vous faire part de ma vision de l’eau et de son utilisation comme purificateur essentiel dans notre vie de tous les jours.

Nous ne ritualisons pas assez. Chaque lavage de mains, chaque douche peuvent devenir de vrais rituels de purification de nos corps physiques et éthériques si nous y mettons les intentions.

C’est un magnétiseur qui m’a appris très jeune que j’avais un fort potentiel.
La première fois que je l’ai rencontré il ne m’a laissée repartir qu’après m’avoir expliqué comment je pouvais simplement me dégager des énergies que j’absorbais comme une éponge… avec l’eau du robinet.

Il faudrait juste modifier un peu les actes que nous faisons machinalement au quotidien.

Combien de fois vous lavez-vous les mains par jour ?

Ritualisez ne serait-ce que chaque lavage de mains, en conscience, et vous aurez déjà avancé dans le parcours de votre nettoyage énergétique régulier.

Allumez l’eau et prenez toute conscience du contact de l’eau sur votre peau, du flux de l’eau sur vos mains qui s’écoule et qui nettoie.

Imaginez toutes vos oppressions, pensées ou ressentis négatifs, énergies lourdes ou accablantes qui affluent dans vos mains puis sont nettoyées, purifiées, diluées puis emportées par l’eau à travers le siphon du lavabo.

Si vous avez reçu des vibrations particulièrement mauvaises et que vous commencez à les ressentir physiquement (nausées, douleurs physiques, crampes d’estomac, violents maux de têtes), remontez vos manches et faites couler l’eau depuis vos coudes d’un côté puis de l’autre, et à nouveau -comme le lavage coudes/mains des chirurgiens- en conservant l’intention, cette visualisation de transfert et de dissipation par flux des ressentis toxiques, de vos coudes à vos mains, qui finissent par disparaître avec l’écoulement de l’eau.

Pour plus d’efficacité vous pouvez verser quelques gouttes d’huile essentielle de lavande ou de basilic pour les personnes les plus en contact avec le monde de l’au-delà.
De la menthe ou quelques feuilles de sauge blanche séchées peuvent aussi être infusées dans votre savon liquide pour améliorer cette forme de « cérémonial » accessible à tous et assez rapide somme toute.

Maintenant je vais vous demander de visualiser la puissance de ce même type de ritualisation à l’échelle de chaque douche/bain …

Imaginez l’eau couler sur votre tête et purifier votre corps entier…

Cela ne demande pas beaucoup d’efforts supplémentaires…. Juste, fermer les yeux et l’instant de quelques secondes/minutes, faire le même travail mental que pour les mains… grandeur nature !
Pour le bain, il faut ajouter du gros sel (de l’Himalaya ou de Guérande si possible non traité non blanchi). 
Vous pouvez de la même façon utiliser juste quelques gouttes (pas trop !) d’huiles essentielles d’herbes énergisantes, purifiantes. Il est important de tremper son corps entier, tête comprise, au moins une fois et de se rincer sous l’eau de la douche après chaque bain pour faire partir et laver littéralement les restes d’énergies toxiques que vous avez pu dégager.

Procédez de la sorte dans votre vie de tous les jours et vous verrez que vous vous sentirez mieux, plus équilibrés, plus légers et plus dynamiques parce que chaque contact avec l’eau peut nettoyer les énergies négatives, nuisibles et oppressantes que vous apportent vos quotidiens.

Le procédé est si simple et si peu contraignant – un simple petit rituel mental -  et vous apportera des bienfaits incroyables.

Alors pourquoi pas ?

Juste une petite note additive : vous buvez de l’eau aussi. 
Visualisez l’eau qui nettoie et purifie votre corps physique quand vous l’avalez. Vous pouvez débuter avec de l’eau froide pour mieux visualiser et ressentir son parcours…. 

L’eau est partout et nous sommes en contact avec elle plusieurs fois pas jour...Pensez-y !!

Les émotions

lundi 16 janvier 2017




Mon cerveau décortique certaines idées depuis plusieurs jours. Les images et les pensées se déchaînent : il est temps de reprendre les écrits un peu plus sérieusement !
Je suis partie sur les notions de plaisir, joie versus tristesse, peine, déprime.

Pendant des années j’étais intimement persuadée qu’il fallait être malheureux pour pouvoir faire la différence et ressentir réellement le bonheur. Que le malheur était nécessaire pour se sentir vivre, pour évoluer et apprendre à apprécier tous les moments de bonheur.

Je vivais avec l’idée que le bonheur était une sensation impermanente voir même éphémère et que l’on pouvait s’y habituer jusqu’à ne plus pouvoir se rendre compte de sa propre chance. Que les personnes à qui il n’arrivait jamais rien vivaient finalement une vie monotone et fade parce qu’ils ne pouvaient pas faire la part des choses. Que finalement ils ne profitaient pas de leurs moments agréables. Par habitude. Parce qu’ils ne pouvaient pas faire la différence.

Je me dois de commencer par le début. Voici donc à peu de choses près mon raisonnement initial. Celui que je suis en train de détruire pièce par pièce actuellement et qui occupe tout mon temps libre et mes méditations.

Heureux ou malheureux ? Et si nous avions réellement le choix entre vivre heureux ou malheureux ?
Et si l’état de bonheur pouvait être perpétuel sans avoir besoin d’être asticoté pour être ressenti… ?
Parce que le réel problème se trouve bien là : on ne peut pas être éternellement heureux (activement en tout cas). Et si quelques petits aléas ne viennent pas entacher cet état, on finit, comme pour tout, par s’y habituer.

Chose étrange, on s’habitue au bonheur qui peut finir pour certains par devenir lassant et monotone, mais je ne connais personne qui puisse s’habituer au malheur.

Quoi que dire qu’on ne s’habitue pas au malheur est faux. Mais malgré la capacité qu’il peut avoir sur l’être humain, ce pouvoir qu’il peut lui conférer de pouvoir en supporter plus, et de plus en plus, il est et reste toujours présent à l’esprit comme inacceptable. On sait que le malheur est en nous, même s’il est perpétuel alors qu’on oublie la présence de Monsieur Bonheur qui devient quant à lui le sentiment invisible. Beaucoup se créent de « petits problèmes » juste pour ressentir à nouveau leur chance d’être bien et heureux. 

J’avais certainement fait l’erreur de ne pas essayer d’établir une échelle de graduation bonheur/malheur. Je n’avais pas fait de différence de degré entre par exemple le bonheur d’une jeune femme au jour de son mariage, à l’instant, avec tous les autres jours suivants où elle est heureuse de sa situation et de sa vie de jeune épouse.

J’avais également l’impression que le bonheur était comme un agréable canapé dans lequel on se love paresseusement…pour finir par fermer les yeux…et s’endormir. Que le bonheur était dans l’instant mais qu’il finissait toujours par s’évaporer progressivement pour laisser place à une forme de routine, d’habitude qui se rapprocherait plus du « laisser-vivre ».

Alors que je prenais le sentiment de malheur comme « vrai », saisissant, incontournable et impossible à nier.
Le malheur représentait pour moi à l’époque l’enfant qui se coupe violement avec un couteau, qui souffre, crie, pleure. Une fois sa blessure refermée, la cicatrice sera toujours présente pour lui rappeler sa douleur, provocante, pour qu’il se souvienne toujours qu’il doit faire attention aux lames acérées.

Voilà.

La notion de leçon provenant des expériences malheureuses prédominait. Comme si l’homme avait besoin de souffrir pour apprendre, grandir, évoluer…

Je ne dis pas que ce n’est pas tout de même le cas. Mais à une plus juste mesure.

Je dis juste que mon raisonnement m’a amenée plus loin et ailleurs.

Tout simplement parce que j’ai oublié de voir l’élément essentiel et primordial dans tout cela : heureux ou malheureux ne dépend pas des causes, il dépend de nous !

Nous donnons aux évènements qui nous arrivent tellement d’importance que nous en oublions le fait que c’est nous qui décidons ! C’est nous qui réagissons et qui ressentons telle ou telle émotion suivant les circonstances de nos vies.

Nous avons l’impression que ces sentiments extrêmes sont inéluctables et nous nous laissons dominer par nos émotions positives ou négatives.

Mais n’avons-nous pas le choix ? 
Sommes-nous esclaves de nos ressentis ? 
Notre intelligence ne peut-elle pas modérer et réguler nos sensations ?

Si j’analyse mon propre vécu et que je fais la part des choses je me rends compte qu’à situation identique j’aurais certainement appris les mêmes leçons sans en souffrir si j’avais choisi le raisonnement et la logique basiques.
Tout est dans le lâcher prise !

La première question à se poser dans une situation douloureuse devrait-être « est-ce que je peux changer quelque chose ? » et non « est-ce que je suis responsable de cette situation ? » ou pire « pourquoi moi ? ».

Puis avec le temps on SAIT que la joie, la liesse, l’allégresse comme la tristesse, la colère ou la haine ne sont que momentanés voire sporadiques si on les compare à tout un vécu.
On dit bien des explosions de joie ou de colère.
Rien que l’expression les rapproche.

Comment baser un sentiment de vie sur tant de moments certes puissants et mémorables mais néanmoins si éphémères.

Voilà où en est mon raisonnement aujourd’hui.

On ne peut pas dire que ma vie ait été simple ni facile. Et pourtant, à y réfléchir, je considère que j’ai beaucoup de chance. Oui j’ai vécu et vis certaines expériences qui rendent la majorité aigrie et en colère contre la terre entière.
Mais je ne suis pas en colère et je n’en veux à personne.

Le fait de considérer que j’ai le CHOIX de vivre, sourire, rire, être positive et rester à l’écoute des autres m’a fait me rendre compte que toutes ces notions de bonheur et de malheur comme je les percevais auparavant ne veulent rien dire d’autre que le sens et l’importance que JE veux bien leur donner.

ET je ne veux plus leur en donner aucune !

Dès lors, j’ai arrêté de souffrir et de me faire du mal.
Il faut vivre, accepter, profiter de tous les bons moments et avancer.

L’importance que l’on donne aux imprévus de sa vie, bons ou mauvais est un choix personnel.

La raison et l’intelligence devraient être plus fortes que les sentiments vifs et passagers tels que la colère, la haine, la liesse et l’allégresse. Voire même la tristesse et la joie.

Je ne dis pas qu’on ne doit pas les ressentir. Je dis qu’on doit mesurer leur importance dans notre vécu et, tant que faire se peut, faire entrer la raison et l’analyse avant de réagir avec excès.

Car enfin, puisque le bonheur est en moi et que la sensation et le choix du bonheur dépendent de moi…je choisis sans hésiter !

Parce qu’au fond et dans tous les cas je sais que je ne peux pas changer certaines situations.
La seule chose dont je suis vraiment maître est ma capacité à gérer les situations sans en être affectée négativement ou excessivement.
Et pour ceux qui auraient du mal à relativiser certaines expériences particulièrement douloureuses ou tragiques de leur vie, tentez de regarder autour de vous.

Regardez autour de vous et observez : il y a toujours pire quelque part que ce qui vous arrive à vous. Relativisez !

Demandez-vous si vous allez laisser cette situation vous détruire.

Parce que vous pouvez choisir de lâcher prise et d’avancer pour que tout ceci ait un sens. Ou simplement parce que dans tous les cas vous ne pouvez rien y changer.

Alors vivez, aimez, ressentez… Et lâchez prise !


Votre bonheur dépend de vous !!!

Nettoyer un lieu pour s'y sentir mieux

vendredi 12 février 2016

On vient régulièrement à moi pour me demander comment faire pour se sentir bien chez soi, dans son bureau, dans une salle de travail ou même juste dans une pièce particulière de la maison ou du lieu de travail.


Nous avons je pense presque tous déjà "ressenti" un lieu. Parfois on se sent bien ou mal sans trop comprendre pourquoi. Les plus réceptifs peuvent même ressentir la joie, la sérénité, le calme énergisant tout comme hélas le froid, la tristesse, la maladie ou parfois même quelque chose de tellement désagréable qu'il peut instantanément nous rendre malade, nauséeux.

Je pense que n'importe qui peut sentir les énergies libérées par un lieu. 
Il suffit d'y entrer sans aucune arrière pensée et d'essayer de relever ce que nous ressentons à la seconde même où nous avons mis les pieds dans la pièce.
Cette première sensation est souvent la bonne !

Je vais essayer de vous donner quelques petites astuces très simples qui peuvent correspondre à n'importe quels lieux et dégager voire nettoyer les énergies "sales" et rendre l'endroit plus accueillant et vivable. 

Si la sensation désagréable commence dès l'entrée principale, il faut avant tout commencer par là. Si c'est une pièce seule qui pose problème dans un ensemble, on commence par travailler uniquement sur cet emplacement précis. 

Chose essentielle, il faut que la pièce (ou l’entrée) soit rangée. 
Rien ne doit traîner, tout doit être harmonieusement disposé. 
Si il y a des placards et des armoires remplies de toutes sortes de choses plus ou moins inutiles ou engouffrées là comme un débarras : RANGEZ, triez, donnez, jetez !
Tout ce qui a pu être là depuis plus d’une année sans avoir servi n’est plus utile ! Ne gardez que l’essentiel. Et aérez au maximum après avoir rangé.

Si un miroir se trouve en face de la porte – que ce soit dans une pièce ou dans l’entrée – il faut le voiler avec un rideau ou le changer de place quand c’est possible.

Imaginez la porte comme un tunnel d’énergies qui peut librement aller et venir. Si un miroir se trouve en face, même si il y a une fenêtre dans la pièce, plus rien ne rentre ou ne sort de la bonne façon… l’énergie ne se renouvellera pas – ou mal si il y a tout de même une fenêtre -, et la pièce ou l’entrée de votre maison stagnera avec les énergies et ressentis qui ont été vécus à l’intérieur même, et c’est tout !
Et toutes les énergies qui entreront viendront d’autres issues, sans contrôle ni relation avec le reste de l'ensemble.

Une fois le lieu rangé, posez-vous dans la pièce ou à la porte d’entrée et ressentez le changement.

Cela peut ne pas suffire si trop d’événements lourds ont été vécues dans les lieux.

C’est  un peu difficile de donner une astuce qui pourrait être suffisante en toutes circonstances. Je vais donc en énumérer quelques-unes, qui peuvent s’ajouter les unes aux autres.

L’améthyste :



C’est la pierre de purification par excellence et surtout l'une des rares que l’on n’a pas besoin de « nettoyer » sans arrêt. Placée dans n’importe quel lieu elle a le pouvoir de transformer les énergies négatives en énergies positives. Elle peut aussi bien remplacer une énergie « désagréable » que nettoyer un lieu très touché par un vécu pesant ou même contrer la magie occulte néfaste.

C’est ma pierre fétiche parce qu'elle ne pourra en aucun cas faire de mal et que dans tous les cas elle soignera le lieu et les personnes. Elle apportera toujours une énergie pure et pourra donc nettoyer mais également protéger un lieu sans discontinuité.

Il faut la placer le plus près possible de l’entrée. Dans l’idéal à droite ou à gauche de la porte. S’il n’y a qu’un placard, même fermé à l’entrée de la pièce ou de la maison, posez l’améthyste à mi-hauteur à l'intérieur du placard.

Si cela s’améliore mais ne suffit pas, procurez-vous des pointes brutes de cristal de roche (translucides, brutes -non polies- sans couleur).




Placez-les collés à l’améthyste –il faut qu’elles se touchent-  avec la pointe vers l’intérieur de la pièce.




Il n’est pas utile d'utiliser d'énormes cristaux. Même de tous petits morceaux suffiront. 
Ils serviront à amplifier et mieux répartir –diffuser- les effets du cristal d’améthyste dans la pièce.

Ici je vous laisse juger avec vos ressentis. 
Il faut parfois déplacer la pointe de cristal de roche dans une autre direction plus précise: affinez selon vos ressentis pour envoyer les énergies des pierres dans la bonne direction.

Si vous avez l’impression que les énergies viennent également d’ailleurs, généralement vers les autres issues telles que les fenêtres, vous pouvez faire exactement la même chose à côté des fenêtres et donc ajouter une autre améthyste brute avec ou sans cristal de roche positionné dessus.

Et n’oubliez pas que la dimension de vos pierres n’est pas importante. Choisissez par contre des pierres brutes, des bouts de cristaux non manipulés et non polis.

Pour finir, un bon petit nettoyage de la pièce, de votre entrée ou même de votre maison –ou lieu de travail- peut s’avérer nécessaire.

Pour cela utilisez des bâtons de feuilles séchées de sauge blanche -Salvia Apiana-.



Le processus est simple.

Allumez le bout du bâton, attendez un peu que les braises apparaissent puis soufflez pour ne garder que la braise.
Promenez-vous dans la pièce en commençant par la porte et en agitant le bâton de sauge de haut en bas doucement et en faisant le tour des quatre murs pour revenir à la porte.
N’hésitez pas à envoyer vos intention de purification –il suffit de penser très fort à ce que vous demandez ou recherchez comme purification tout en faisant les fumigations-  pour donner un sens et envoyer des énergies de « nettoyage de tout».
Terminez devant la porte en remerciant.
Vous pouvez vous purifier vous-mêmes avant d’éteindre le bâton en vous enveloppant de cette fumée virtuellement avec vos mains.
Pour éteindre, l’idéal est d’avoir un cendrier et de procéder comme si vous éteignez une braise en appuyant sur le bout allumé pour l’étouffer.

Pour fignoler le rituel, il y a deux écoles : celles qui le font toutes fenêtres ouvertes et celles qui n'aèrent que quelques temps -une heure- après la fumigation.
Je vous laisse le choix. Personnellement j'aère une petite heure après la fin du rituel de nettoyage.

Notez que cette opération de purification avec le bâton de sauge blanche peut se faire également en une seule fois dans toute votre habitation. Il suffit de commencer par la porte d’entrée et de suivre les murs de toutes les pièces pour revenir à la porte d’entrée et terminer le processus à la porte de départ.

La fumée de sauge blanche est utilisée pour guérir, nettoyer, purifier, bénir les objets ou les lieux. Elle va réellement "laver" toutes les énergies nocives.

N’oubliez pas de remercier.

Voilà, je pense vous avoir donné quelques petites astuces simples et vraiment très utiles pour nettoyer utilement une pièce.

Il y en a d’autres, plus ciblées, mais généralement cela suffit à rendre un espace plus harmonieux et accueillant.

N’hésitez pas à me poser des questions !

L'écriture

mardi 2 février 2016



Je suis dans une phase d'observation après avoir passé de trop longues années à courir dans tous les sens pour ne pas avoir à me regarder moi même, sans m'arrêter, pour ne pas avoir à réfléchir.

J'ai écrit pendant des années, il y a bien longtemps, puis j'ai préféré ne plus rien coucher sur le papier, par peur de trop de conscience. Parce que la vie me blessait et que je préférais jouer au funambule plutôt que d'affronter mes problèmes inconscients. 
Ecrire apporte souvent une lucidité explosive sur les choses de la vie, de sa vie. 
Ne pas écrire c'est se cacher à soi même et de soi-même. C'est ne plus se parler à cœur ouvert. C'est ne plus décortiquer les choses enfouies au fond de soi.

Le plus amusant dans tout ça c'est que j'ai aussi passé des années à conseiller les autres. Souvent.
Mon premier conseil a toujours été celui d'écrire.

Je crois que tous mes proches en difficulté ont eu droit à ce conseil avisé : si ça ne va pas et que tu ne sais pas pourquoi, écris. 
Écris tout et n'importe quoi, même si tu as l'impression que cela ne te mène à rien, parce qu'à un moment donné, sans que tu t'en rendes compte, la vérité viendra, la souffrance s’échappera, le mal s'expulsera au grand jour...et tu guérira. 
On peut dire à une feuille ce qu'on ne pourrait dire à personne, pas même un psy.

                                      - Oui, je dis bien une feuille ! Le fait d'écrire vraiment, avec du vrai papier et un vrai crayon est primordial.
Premièrement parce que cela fait fonctionner bien plus de cases de notre cerveau et bien plus de choses se passent intérieurement qu'avec un simple clavier.
Deuxièmement parce qu'il y a un petit coté mystique dans le papier et l'écriture... et qu'on peut plus facilement transformer nos problèmes matérialisés sur une feuille en petit rituel de nettoyage personnel. On écrit, on médite, puis on brûle le papier. Et on remercie. Bien des problèmes disparaîtraient si les gens apprenaient à "brûler" leurs problèmes pour les laisser partir et passer à autre chose. - 

On est plus vrai, plus honnête en s'écrivant à soi même. On n'a pas peur de se dévoiler puisqu'on sait qu'on peut détruire nos pensées juste après. 
La meilleure des confession reste l'écriture à soi-même et pour soi-même.

Tous ceux qui ont tenté sérieusement cette expérience ont toujours fini par comprendre certaines choses.. 
Le pourquoi de ce sentiment de peur invasif que beaucoup ressentent se trouve souvent caché dans de toutes petites choses, très lointaines, provenant majoritairement de la petite enfance. Parfois même un minuscule événement qui n'avait l'air de rien peut changer une personne à vie. Parce qu'au moment précis où cette chose est arrivée cela a créé une sorte de choc émotionnel ou de prise de conscience. Et la peur de souffrir ou de revivre ce moment peut bloquer émotionnellement une personne pour sa vie entière.

Pour en revenir à ma phase d'observation actuelle, qui dure depuis bientôt 10 ans, j'en suis arrivée à un constat assez triste: trop de gens vont mal !

C'est comme si, en devenant adulte et responsable, l'homme se croyait obligé d'abandonner tous ses rêves, tous ses plaisirs futiles, toute joie pure et éclatante. On parle beaucoup des nouveaux adulescent, mais même ceux là ne vont pas bien: ils jouent un jeu.

Je me permet de le dire ayant cette faculté de ressentir ce que les autres ressentent...qu'on appelle empathie.
Je suis une éponge. 
Je peux aller subitement très mal et me mettre à pleurer sans raison alors que tout va bien...juste parce qu'une personne près de moi -que je la connaisse ou non- va mal. Qu'elle le montre ou pas.

Et bien ces derniers temps j'ai envie de crier à tous ces gens que je croise d'écrire !! 
De cracher tout ça sur du papier !! Que les choses peuvent aller mieux !! Qu'il faut respirer et regarder aussi les belles choses de la vie !!
De prendre un cahier et de noter dessus tous les jours les belles choses qu'ils ont vécu dans leur journée, même les plus discrètes, même les plus simples. 
Parce qu'à force d'aller mal ils ne voient plus les belles choses qui leur arrive...

Vivez, sniffez l'odeur de votre café ou de votre chocolat le matin comme si il s'agissait d'une drogue !! 
Sautez dans les flaques d'eau...c'est peut être puéril mais ça fait toujours plaisir !! 
Dansez dans la rue quand vous entendez une musique qui vous plait ou mieux, chantez cette chanson entraînante que vous aimez et dansez dans l’ascenseur ou dans la file d'attente !! 
Souriez aux personnes que vous croisez, même aux inconnus, vous serez surpris de vous rendre compte que votre sourire illumine certaines personnes qui vous retourneront ce sourire !! 
Arrêtez vous et contemplez le coucher de soleil, les belles lumières, extasiez vous sur les petits oiseaux aux terrasses !! Illuminez vos journées de petites choses... votre vie n'en sera que plus belle !!

Et surtout, pour tout ce qui vous gêne, vous bloque, vous fait peur sans que vous sachiez pourquoi. 
Pour tout ce qui vous angoisse et que vous ne réussissez pas à maîtriser...que vous ne comprenez pas...

ECRIVEZ !!!!!


J'arrive

lundi 1 février 2016
Petite prose... pour  Ninie...
A force de ressentir les gens, je finis par les connaître presque aussi bien que moi-même ...
Quand je pense à toi Ninie, et à nos dernières conversation, voici ce que je ressens (tu m'inspires hi hi)... :

J'arrive ...

J'arrive mon cœur, je ne sais pas quand...
Mais j'arrive...

Et je marche
Sur les chemins de ce pays
Ce pays où je sais que tu habites
Toi qui souris même en dormant
Ce pays bleu dans ma tête toute noire...

Mon cœur,
J'ai des mots comme des caillots de sang
Qui me bloquent le cœur
Je n'ai rien d'autre à t'offrir
Si ce n'est un petit matin qui sent la pluie
Un de ces petits matins où le froid me mord
Et me fait mal...

Les lumières sont belles parce qu'elles sont fugitives
Comme une caresse du coin de l’œil
Comme une tendresse sans raison
Simplement pour la chaleur...

A quoi bon coincer ça sur un bout de pellicule ?
Personne ne comprendrait....

Mon cœur,
Les voyageurs de la nuit ont les yeux passés au noir
Et détectent des impressions sans contours
Des impressions sans langage
Enfermés dans une bulle de mélancolie
Qui s'irise parfois de larmes...
Ils ont appris à voir ce qu'ils s'inventent
et trimbalent leur besoin de moitié
Comme une plaie au cœur...

Ce froid là a des morsures si terribles
De ces blessures qui ne se referment jamais tout à fait
Et où le temps sème sa gangrène...

J'en ai pourtant partout de ces blessures béantes
Comme ces poches où j'enfonce mes poings
Les soirs de fête pour faire rire les gens
Les soirs de complaisance pour attiser mes révoltes
Nos soirs de tes jours où je perçois la lumière de demain...

J'arrive mon cœur, j'arrive...


Le moutâne


J'ai retrouvé ce petit délire en rangeant ce week-end.
Création humoristique artistique destinée à l'époque à calmer mes nerfs lors d'une réunion où j'avais de fortes envies de crier, mais où je devais vraiment garder mon calme, je le dépose ici, comme un post-it.

Quand je disais que je pense en images...celle-ci traduit exactement ma forme de pensée.
Je pense en images. Et quand l'image n'existe pas, je l'invente ! :)

Le moutâne représente tellement de personnes, qu'il fait maintenant partie de mes personnages visuels !

Petite Anse - St Barthélémy

Mon endroit préféré :)